'Envie de sourire un peu !? Voyez P'tit canard et gros farceur en cliquant[ici]
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Actualité:"Un agriculteur témoigne :"sa leucémie enfin reconnue comme maladie professionnelle" !
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PROCHAINEMENT :
ITW en vidéo, auprès de NOVIEL Roger, professeur, et dirigeant de l'Ecole de Taï Chi de YUTZ |
Lecture du livre Cancer du soir...Espoir.
Si intéressé : tél : 03 82 83 42 71 |
Outre de plaisantes et instructives vidéos ici présentées, vous pourrez en visionner de nombreuses autres sur notre magazineALLÔ DOCTEUR, sur le site d'Intercom-Santé 57.
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/!\ ACTUALITES :
10 février 2015 :Attention aux médicaments
8 février 2015 : Le Dr F.VILLARD, responsable des soins palliatifs à Hayange,témoigne : 2è partie
31 janvier 2015 : La Fée Cigarette et notre troupe des Barbies Turique et Rac
11 janvier 2015 : Le Dr F.VILLARD, responsable des soins palliatifs à Hayange, témoigne...1ère partie
14 décembre 2014 : Editorial de décembre 2014 :"S'acharner à vouloir vivre"!
13 décembre 2014 : Suite de la lecture en vidéo du livre Cancer du soir...Espoir, par Nicole Lohezic - série 4
12 décembre 2014 : Dominique Marchal, un agriculteur atteint de leucémie, témoigne...2è partie...
12 décembre 2014 :Dominique Marchal, un agriculteur, témoigne de son combat victorieux pour faire reconnaître sa leucémie comme maladie professionnelle - 1è partie
30 novembre 2014 :Suite de la lecture en vidéo du livre Cancer du soir...Espoir, par Nicole Lohezic. Série 3
30 novembre 2014 :Estelle GIARRATANO témoigne en vidéo de sa lutte victorieuse contre le cancer du sein (2è partie)
6 novembre 2014 :ITW en vidéo :"En quelles circonstances consulter un sexologue ?" Le Dr Ramseyer répond (1è partie)
6 novembre 2014 : ITW en vidéo :"En quelle circonstance consulter un sexologue ?" Le Dr Ramseyer répond (2è partie)
5 novembre 2014 :Suite de la lecture de quelques pages du livre Cancer du soir...Espoir, de Simone Schlitter, par Nicole LOHEZIC, série 2
5 novembre 2014 :Si vous souhaitez vous procurer le livre Cancer du soir...Espoir!
5 novembre 2014 : Estelle GIARRATANO témoigne en vidéo de sa lutte victorieuse contre le cancer du sein (1è partie)
24 octobre 2014 : Lecture de quelques pages du livre Cancer du soir...Espoir, de Simone Schlitter, par Nicole LOHEZIC - série 1
20 avril 2014 : Les bienfaits du sport...de glace...
08 mars 2014 : Dans les coulisses du Lycée St André - Optique
07 mars 2014 :la journée d'un kinésithérapeute
06 mars 2014 :La journée d'une infirmière libérale
26 février 2014 :gym douce à l'EHPAD LA KISSEL
23 février 2014: Le patient nous écrit:"mes possibilités de bouger sont réduites !"
23 février 2014: Vidéo : une infirmière scolaire qui a du punch
15 février 2014: Les causeries de Tante Mathilde
15 février 2014: VRAI ou FAUX
12 février 2014: Introduction
/!\PARTICULIEREMENT IMPORTANT ! Estelle Giarratano, sortie victorieuse de sa lutte contre son cancer du sein, invite toute femme en détresse à ce propos de prendre contact avec elle. Elle se déplacerait si besoin ! "J'ai vaincu mon cancer du sein !" Estelle GIARRATANO témoigne (1è partie)
Tél: 06 64 88 34 78
/!\ Manifestations publiques de l'Association Cancer-Espoir – Pour renseignements : Tél = 03 82 83 42 71
Le mardi 3 février de 15 h 30 à 17 h : LA TETE ET LES JAMBES, avec Mathilda, au n° 3, rue du Cygne, à THIONVILLE
Le mardi 17 février de 15 h 30 à 17 h : LA TÊTE ET LES JAMBES, avec Mathilda, au n° 3, rue du Cygne, à THIONVILLE
(Exercices de mémoire alternant avec gym douce...
NB
Introduction
Bonjour à tous
C'est Marthe Humbert-Schlitter, Présidente de l'association Cancer-Espoir qui, dans ce cadre, a créé P'TIT CANARD MALADE et va essayer de s'en occuper pour le maintenir en pas trop mauvaise santé...
L'ambition de ce P'TIT CANARD, c'est de parler de la maladie et de la bonne santé, et de ce qu'il y a entre les deux... Et ceci, tant qu'à faire, plutôt à la façon de Toto, qu'à celle des célèbres Docteurs Diafoirus père et Fils (voyez sous Molière, dans Google...)
Nous prévoyons différentes rubriques qui sont en train de se préparer. Au fur et à mesure, pourront s'y ajouter d'autres rubriques, selon les idées des uns – et des unes (parce que maintenant c'est mixte ! - et des autres. . P'tit canard est bavard comme une pie ! Il acceptera pourtant pour la circonstance de céder la paroles à différents auteurs. Qu'on veuille bien lui pardonner une certaine lenteur dans la construction ou la tenue de ces rubriques (les bénévoles « littéraires » sont rares...)
Voici les premières 4 rubriques prévues :
Les causeries de Tante Mathilde :
Auteur : Tante Mathilde - Description : Madame sans gêne ...foulard sur la tête et jarretelles pour tenir les chaussettes , qui débarque, au 21è siècle, après un grand bond dans l'espace, depuis, seulement, quelques décennies But : le bon sens, la franchise, un brin de critique acerbe, et les « petits conseils de bonne femme » utiles à tous. Des questions, aussi, que Tante Mathilde, jouant les Candides, pourrait se poser, sur le fonctionnement de notre système de santé, en particulier, et sur notre société, en général.
Le Vrai ou faux :
Auteur : Sam Conney - Description : le journaliste scientifique, grosses lunettes sur le nez, qui « s'y connait » But : C'est un jeu permettant de tester si « on s'y connait » dans le médical... Plus piégeant qu'on ne pourrait le croire...
Les reportages et enquêtes :
Auteurs conjoints : Joelle Reugard -Delyncs et Joël Leuille-Delègle - Description : l'un porte la caméra et l'autre les grosses lunettes
But : caméra branchée à la source, sur le milieu médical ou paramédical. Avec une personne concernée, volontaire, qui nous ouvrira sa porte. Sujets variés. Sans oublier la caméra branchée aussi sur les patients qui ont des choses à dire. Et aussi sur des initiatives intéressantes, par rapport à la prévention, aux soins, etc.
Dans ce cadre : APPEL A TOUS LES ACTEURS DE SANTE DESIREUX DE TEMOIGNER : soit sur leur profession, ses joies et ses peines, ses techniques Et aussi
APPEL AUX PATIENTS , DESIREUX DE TEMOIGNER DE LEUR CAS, afin que tous puissent profiter d'expériences particulières.
Nous viendrons vous trouver avec plaisir, aux fins de réaliser un reportage vidéo, dans le cadre très large de l'hygiène de vie, de la prévention et de la santé. Merci d'avance de votre confiance.
Le patient invité à s'exprimer sur P'tit Canard par écrit :
Son vécu, ses remarques, ses questions.... Sous forme anonyme, ou avec initiales, ou vrai nom.
NB
EDITO DE DECEMBRE 2014
S'ACHARNER A VOULOIR VIVRE !
Souvent j'avais entendu ma mère décréter, en hochant la tête : « Faudrait une bonne guerre, tu comprends ! Les gens sont trop gâtés ! »
Je ne répondais jamais. Je n'avais pas l'habitude d'entreprendre des discussions avec ma mère. D'ailleurs cela se passait entre 1950 et 1970. Après, elle dormait beaucoup. Elle ne disait plus trop rien. Quant à moi, réformer le monde, c'était pas vraiment mon truc. Il y avait ceux du café du commerce, d'un côté, qui le réformaient en trinquant, ou en sirotant leur petit noir. Les énarques qui le réformaient en légiférant. Ou en faisant légiférer. Ce qui revient au même. Et puis les philosophes qui le réformaient à la faculté. Ou dans les bouquins. Ou dans les conférences.
Mais depuis que la loi Léonetti, lentement, mais sûrement, se modelait et se remodelait à grands renforts de sédatifs, je me reposais parfois la question.. Est-ce que nous n'étions pas un peu nombreux sur cette planète dont l'horizon se rétrécissait à vue d'oeil ? Un peu trop à l'étroit, bientôt ? Entre le niveau de la mer, qui gagnait du terrain, la mer d'Aral qui s'asséchait, les îles de plastique au milieu de l'océan, juste assez souples pour étouffer les poissons, et un peu trop molles pour se transformer en terrain constructibles, entre les promoteurs qui construisaient en zones inondables, les chinois qui bientôt nous envahiraient – et étaient d'ailleurs présentement en train de le faire – les bébés qui voulaient naître à tout prix, fût-ce dans le ventre des mères porteuses et à tous les prix – et les vieux qui s'obstinaient à devenir centenaires, nous allions où, au juste, à ce train-là !? Au Moyen-Âge, on mourrait à 50 ans. Bon, un peu tôt tout de même, faut dire ! Mais de là à devenir centenaire, vous voyez l'écart !? Je ne dis pas qu'on devrait réunir les estropiés, les malades, et les croûlants, dans de grandes bennes, pour les emmener à l'abattoir, ce serait quand même exagéré. Le film Soleil Vert, il y a quelques décennies, il était plutôt méchant – et fort inquiétant. Heureusement, il ne s'agissait que de Science Fiction, et (merci mon Dieu), on n'est pas prêt de transformer de la chair humaine en petite tablettes nutritives de jolie couleur verte. Mais enfin, pourquoi ne pas appeler un chat un chat !?
S'acharner à faire vivre à tous prix !? D'ailleurs c'est défendu maintenant ! La loi le dit bien ! »pas d'acharnement ». Et si vous ne savez pas ce que vous devez faire à partir d'aujourd'hui, c'est que vous avez les oreilles très bouchées...Avez-vous placé dans votre porte-feuille ou dans votre coffre-fort, ou à la banque, ou sur votre cœur, ou dans toutes les poches de tous vos costumes, ou dans votre sac à main, le fameux billet... !? Vous savez bien ! Celui qui dit que vous renoncez à vouloir vivre si vous êtes trop patraque. A quel degré de « patraquerie » faites-vous allusion !? Ben c'est simple, quand même, non !? Si vous faites pipi et caca dans la culotte, bavez sur votre chemise, ne pouvez plus tenir votre cuillère dans la main, bégayez au lieu de parlez, avalez de travers à chaque bouchée, et emmerdez votre entourage, de ce fait, plus qu'il n'est permis de faire – et que de surcroît vous ne pouvez ouvrir votre bouche – possiblement édentée – que pour proférer d'horribles râles, au lieu de dire : »je veux mourir, qu'on en finisse à la fin ! », comprenez que c'est quand même difficile pour votre entourage de ne pas essayer – ou au moins de faire semblant – de vous tenir la tête hors de l'eau ! Et pas qu'un jour, si vous avez le cuir coriace ! Et comme en plus vous ne pourrez même pas vous suicider, faute de muscles, et d'irrigation de votre cerveau pour vous donner un peu de punch, pour ce geste libérateur, vous n'avez qu'à écrire (comme Gainsbourg l'aurait fait ») : « Suicidez-moi !! ». Enfin, je veux dire : « tuez-moi légalement ». Enfin, je veux dire « sédatifiez-moi ».
Les patchs de scopolamine, collés derrière l'oreille, vont vous empêcher de vous étouffer dans vos râles pendant que vous mourrez. D'ailleurs, avec eux, vous n'avez plus ni faim ni soif, vous êtes au paradis sur la terre. Et puis il existe à présent bien d'autres mixtures aux mêmes fins, et encore plus pratiques. Plus besoin de manger et de boire pendant ce temps-là. Et ça va vite. En quelques jours, vous êtes passés, comme une fleur, de l'autre côté du chemin. Sereinement. C'est moi qui vous le dis. Si vous ne me croyez pas, c'est que vous êtes de mauvaise fois. Bon, d'accord, ça dure quand même quelques jours. Parfois même un peu plus. Alors que pour les chiens, les chats et les chevaux, une seule piqure, et hop, c'est bon...Nous n'en sommes pas là, certes. Laissons quand même évoluer les choses...
En attendant, je vous le recommande, pensez au fameux billet placé à la bonne place, et à remettre ou faire remettre à qui de droit lorsque vous serez en danger de mort. Vous commettrez un acte civique qui arrangera tout le monde, vous le premier.
Et surtout ne soyez pas farceur au point d'écrire sur votre billet : « JE M'ACHARNE A VOULOIR VIVRE ». Cela s'appellerait un manque de tact évident, après tout le mal que se donnent nos autorités pour notre bien général !
La Présidente de Cancer Espoir
Simone
NB
Les causeries de Tante Mathilde
L'heuh-Tanasie
J'sais pas si vous, vous avez ben compris l'problème. Pour moi, c'est simple : y a plusieurs camps :
Le camp du Docteur Machin qu'y dit : « S'y veulent mourir, faut les aider à mourir », et pis le camp du Docteur Chouette qui dit : « Faut les laisser mourir ». J'ai quand même pas bien compris s'y a p'être encore un 3è camp qui dit : « Faut pas les laisser mourir, faut les aider à vivre – dans tous les cas ». Mais j'ai bien compris qu'y a un camp qui dit : « en fin de vie, faut pas les aider à mourir, faut les aider à survivre encore un peu, en douceur. Ça, ça s'appelle : soins palliatifs, je crois.
Alors bon !
« Les aider à mourir », y en a qui disent que ça s'appelle « tuer » en français. Y parlent de suicide assisté. Pis y a les aut' qui disent :
« oui, mais qui qu'c'est qui vous prouve qu'y veulent vraiment mourir, ces gens-là ? » Alors, y en a qui répondent :
« Ben, c'est parce qu'y l'ont écrit avant d'mourir ! »
Pis c'eux d'l'autre camp qui rétorquent :
« ça fait dix ans qu'y balladent c' billet dans leur porte-feuille. En 10 ans, vous changez pas d'avis, vous !? Moi si ! (Y a qu'les imbéciles qu'y changent jamais d'avis...)
Pis ceux d'l'aut' camp qui répondent : « Oui, mais en plus, le malade, à l'heure qu'il est, aussi, y veut mourir ! »
Pis ceux du camp adverse qu'y répondent : « Comment vous l'savez, puisqu'y peut pu parler !? »
Pis les aut' qui répondent : « j'le vois, parce qu'y hoche la tête, ça veut dire : »j'veux mourir » ! Et de plus, y tourne de:l'oeil, ça veut dire : « on achève bien les ch'vaux » ! C'est cruel de le laisser vivre...
Pis y a ceux qui décrètent : on va confier l'analyse à des psy, qui vont voir, d'après certains signes, s'y veut mourir ou pas !
Alors, y a ceux des soins palliatifs qu'y s'en mêlent, et qu'y disent : « chez nous, on meure doucement et sans souffrance, quand l'heure est venue ! »
J'ai juste pas très bien compris comment ça se passe « pour ceux dont l'heure est encore pas venue » ! Par exemple des gens de 20 ans, ou 40 ans, ou même de 80 ans, dont le cœur est encore bien costaud, mais qu'y sont dans l'coma. J' crois qu'à 20 ans, ils les gardent en vie, avec des tuyaux. Mais à 80 ans, c'est sûr, même avec un bon cœur, y parlent « d'acharnement thérapeutique » J'ai pas trop bien compris à partir de quel âge ça s'appelle « acharnement, d'ailleurs... » …
Sur ce, j'vais vous raconter c'qui est arrivé à mon brave vieux Maurice, appelé Momo (mon beau-frère) : Momo, après son AVC, s'était tout bien rétabli, y r'montait, descendait les escaliers, j'lui faisais faire « sa gym » tous les jours, tout se passait bien jusqu'au 2è AVC. Là, j'avais pas t'nu le coup, pour le soigner, parce qu'y fallait l'attacher dans le lit, et qu'j'avais à m'occuper de mon mari chéri, paralysé total.
Et si j'avais mis mon mari à l'hosto, dans son état j'le condamnai à mort à coup sûr !...alors, j'vous l'dis franchement : mort pour mort, j'avais laissé partir le brave vieux Momo à sa place.
Anita (c'était mon aide), et moi, on faisait à Momo des biberons de bonne soupe aux légumes, avec du lard cuit dedans, on passait tout ça à la moulinette, et à la passette, et Momo, y buvait 5 biberons de soupe par jour. Parfois, quand il avait bien bu, y nous faisait un p'tit sourire. On avait encore apporté les biberons à l'hosto. Mais le personnel nous r'gardait d'travers... Après, y m'avaient obligée de le placer. J'avais signé son arrêt de mort.
J'savais bien qu'c'était son arrêt de mort, mais j'savais pas qu'ça irait si vite...Pour simplifier, au lieu des biberons, y zavaient branché un tuyau dans une veine du cou, avec une poche sur une potence. Momo avait pu besoin d'biberons. Et comme y lui collaient des patchs de scopolamine, Momo passait son temps à dormir – et vous savez bien : « qui dort dîne ». C'était bien pratique, et la perf n'avait pas besoin de couler...Comme elle semblait toujours bouchée quand j'arrivais, c'était moitié mal, vu que Momo « dormait au lieu de dîner »Parfois, la f'nêtre était grande ouverte, au mois de mars, et quand je râlais, on m'disait :'il a trop chaud » ! Sur ce, on fermait la f'nêtre et on apportait une couverture, pas vraiment pour satisfaire Momo (puisqu'il dormait), mais pour que « j'arrête de râler tout l'temps ! »
Le plus grave : Momo, à cause d'la scopolamine, n'avait plus d'salive...Comment j'sais ça!?Ah ben, mes pov chéris, Tante Mathilde en a bavé assez dans sa longue vie pour savoir ça ! La scopolamine, elle a deux avantages : d'abord elle fait dormir. Ensuite, elle empêche les demi-mourants de saliver, donc ils ne meurent pas étouffés dans leur salive, ils meurent sans bruit – et sans râles, et ne dérangent personne! Quand l'infirmière était pas là – c'était souvent le cas – je rinçais la bouche de Momo avec du sérum phy (l'eau salée qu'on met dans les yeux des bébés pour les laver). J'faisais attention d'pas lui faire mal, parce qu'il avait plein d'ulcères dans la bouche (vu qu'elle était sèche). Au téléphone, le toubib préposé aux soins – rarement là car il était ailleurs – avait sèchement asséné : « pas d'acharnement thérapeutique, Madame. D'ailleurs, vous avez signé pour qu'on lui fasse pas d'gastrostomie » !
J'tombais des nues ! J'avais rien signé du tout. Alors j'avais l'choix : ou j'm'occupais de mon bon mari chéri, paralysé, et nourri par gastrostomie, j'm'en occupais bien, et j'laissais tomber les procès, et la lutte pour la survie d'Momo – et telles que les choses étaient parties, elle était plutôt compromise, cette survie ! Ou bien j'me battais sur tous les fronts, et j'allais perdre toutes les batailles.
Et c'est pour ça, parce qu'j'avais pas vraiment l'choix, que not pov vieux Momo mourut quelques s'maines plus tard.
Et j'suis pas sûre du tout qu'ce fut sans douleurs. Parce que je sais qu'on peut dormir à moitié, avoir très mal, et ne pas pouvoir ouvrir la bouche, et ouvrir les yeux, pour dire « ça va pas » ! J'l'ai vécu !! Et ses ulcères, dans la bouche, ça m'étonnerait beaucoup qu'ils l'aient laissé mourir et partir tranquille et sans souffrance...
Vous savez, avec c'qui z'appellent « l'acharnement thérapeutique », faut en prendre et en laisser !! C'est une belle expression savante pour dire qu'on va laisser la barque dériver au fil de l'eau... Quant à l'heuh-Tanasie, j'vais vous dire : à propos de Roger, mon mari, un jour, une bonne femme qui aimait juger de toute sa hauteur, et de loin, m'affirma : « C'est par égoïsme que vous le maintenez en vie » ! Lui VEUT mourir! C'est VOUS qui n'voulez pas !
Moi, je répondis tranquillement : "Non, y n'veut PAS mourir ! » Elle : « Comment vous pouvez l'savoir !? » Moi : « C'est parce que, parfois, sur ses lèvres, je vois comme l'ombre d'un p'tit sourire » ! Et cette femme à la langue si bien pendue, et aux idées si péremptoires, après ça, à mon grand soulagement, elle se tut !
= = = =
Note de l'auteur : Mon livre : Non, Docteur, je ne me résigne pas, parle précisément d'une lutte de 20 ans pour « la survie de Roger » !
NB
NB
VRAI ou FAUX
Je teste mes connaissances médicales...
Essayez de répondre à chacune des questions en 15 sec.max. Voyez les réponses après la fin des QUESTIONS.
QUESTIONS :
Prévention du cancer
A - Une campagne est entreprise afin que les femmes aillent régulièrement et gratuitement se faire réaliser des mammographies, dans le but de détecter précocement un cancer du sein.
B - Dans un même ordre d'idées, une même campagne est entreprise pour déceler précocement un cancer de la prostate.
C – Dans un même ordre d'idées, une campagne est entreprise pour déceler précocement un cancer du colon.
D - Le PSA est une substance présente dans le sang, dont la concentration, au-dessus d'un certain seuil, va permettre de suspecter un cancer de la prostate.
E - Une telle substance est appelée « marqueur ».
F - Si plusieurs femmes de votre famille ont développées un cancer du sein, vous-même, si certaines conditions génétiques sont remplies, courez plus de risques qu'une autre de le développer aussi.
G - Il est indubitablement prouvé que le stress va augmenter les risques de cancer
La glande thyroïde
A – La TSH, sur vos feuilles d'analyse biologique, permet d'étudier le fonctionnement de votre thyroïde.
B – Plus cette TSH est élevée, plus votre thyroïde s'emballe.
C – La thyroïde est une glande dont la destruction va vous obliger à être sous médicaments votre vie durant.
D – Si votre thyroïde fonctionne trop fort, cela peut fatiguer votre cœur.
E – Dans ce cas, la meilleure solution est de vous la détruire.
F – la thyroïde étant très avide d'iode, on va la doper à l'iode radio-active pour améliorer son fonctionnement.
Alimentation et poids
A – Une femme en surpoids court statistiquement plus de risques qu'une autre de développer un cancer du sein.
B – L'IMC = indice de masse corporel en abrégé
C – Si vous souhaitez perdre du poids, mieux vaut vous en tenir à 2 repas par jour, plutôt qu'à 4.
D – Plus vous mangerez lentement, et plus vous aurez tendance à prendre du poids.
E – L'huile de paraffine est plus calorique que l'huile d'olive
F – Le pain sec est plus calorique que le pain frais
G – Le café est plus calorique que le thé.
H – le grignotage entre les repas fait grossir
I -Manger salé fait grossir.
REPONSES :
Cancer :
A - VRAI
B - FAUX
C – VRAI
D – VRAI
E – VRAI
F – VRAI
G – FAUX : ce n'est pas INDUBITABLEMENT prouvé...
Thyroïde :
A – VRAI
B – FAUX : C'est juste le contraire !
C – VRAI
D – VRAI
E – FAUX : ce n'est pas forcé...Et cela mérite réflexion, car le geste est irréversible !
F – FAUX : C'est juste le contraire...L'iode radio-active détruit la thyroïde
Alimentation et poids :
A – VRAI
B – VRAI
C – FAUX, c'est juste le contraire
D - FAUX, c'est juste le contraire
E - FAUX : l'huile de paraffine n'est pas un aliment, son équivalent calorique est zéro...c'est un produit pétrolier...qui n'est pas anodin à consommer, d'ailleurs...
F - VRAI. Car à poids EGAL, il contient moins d'eau, donc plus de féculent...
G – FAUX : zéro calorie si sucre non ajouté, pour ces deux matières, qui ne sont « des aliments » que par l'eau ajoutée...
H – VRAI
I – VRAI...hélas !
NB
Le Dr François Villard, responsable des soins palliatifs à l'hôpital de Hayange, nous explique... - 1è partieUn film de Simone Schlitter pour l'association Cancer Espoir
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Le Dr François Villard, responsable des soins palliatifs à l'hôpital de Hayange, nous explique... - 2è partieUn film de Simone Schlitter pour l'association Cancer Espoir
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Les reportages et enquêtes :
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Estelle Giarratano, psychologue du travail, témoigne : "J'ai vaincu mon cancer du sein : je suis vivante, et heureuse !"
Estelle GIARRATANO a vaincu son cancer du sein (1è partie)Un film de Simone Schlitter pour l'association Cancer Espoir
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Estelle Giarratano, psychologue du travail, témoigne : "J'ai vaincu mon cancer du sein : je suis vivante, et heureuse !"
Estelle GIARRATANO a vaincu son cancer du sein (2è partie)Un film de Simone Schlitter pour l'association Cancer Espoir
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Un sexologue explique...
Interview du Dr Ramseyer François, sexologue, par Cancer-Espoir, en vidéo : quand et pourquoi consulter un sexologue ? 1ère partie
Le Dr Ramseyer, sexologue, est interviewé sur le thème : "En quelles circonstances peut-on être amené à consulter un sexologue?"Un film de Simone Schlitter pour l'association Cancer Espoir
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NB
Un sexologue explique...
Interview du Dr Ramseyer François, sexologue, par Cancer-Espoir, en vidéo : quand et pourquoi consulter un sexologue ? 1ère partie
Le Dr Ramseyer, sexologue, est interviewé sur le thème : "En quelles circonstances peut-on être amené à consulter un sexologue?"(Suite et fin)Un film de Simone Schlitter pour l'association Cancer Espoir, suite et fin
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Enquête sous forme de vidéo auprès d'une infirmière scolaire, au collège Jean-Marie Pelt de Hettange-Grande
Bénédicte PETIT-MEYER va nous entretenir de sa mission d'éducatrice à une bonne hygiène de vie et à la santé auprès des collégiens
Elle sera, dans le cadre de notre ITW, amenée à développer de nombreux points, dont quelques-uns, non exhaustifs, ci-dessous :
QUESTIONS :
Depuis combien de temps exercez-vous la profession d'infirmière ? Depuis combien de temps exercez-vous dans un collège ? Pourquoi avoir choisi précisément d'exercer votre profession sous cette forme particulière ? Nous avons cru comprendre que votre rôle ne se borne pas exactement aux soins de quelques bobos ou malaises – le plus souvent et heureusement – sans gravité – mais ce rôle dépasse largement ce cadre...puisqu'il aborde une véritable éducation à la santé, et ceci sous de nombreuses formes...Nous aimerions que vous développiez à présent ce que vous réalisez, dans ce cadre, précisément...
Nous laisserons Mme PETIT-MEYER développer dans le détail les différents aspects de la chose, et nous bornerons, par-ci, par-là, de demander quelques précisions.
D'avance, nous la remercions vivement d'avoir accepté, avec énormément de bonne grâce, notre proposition d'interview, et de nous avoir entrouvert...un monde ignoré...à savoir le rôle éducatif très réel et efficace que peuvent jouer à présent les infirmières scolaires « qui en veulent »!Aussi bien au niveau de la relaxation, contre le stress – au niveau du « bien dormir » et de « l'assez dormir », en abordant aussi les problèmes de la propreté, de la nutrition, des bonnes attitudes pour ménager son dos, et beaucoup d'autres choses qu'une fois grand, les patients occultent fâcheusement, trop souvent satisfaits de se contenter de « guérir » plutôt que de « prévenir »...
NB
Une infirmière scolaire qui a du punch ! 1Un film de Simone Schlitter pour l'association Cancer Espoir
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Une infirmière scolaire qui a du punch ! 2Un film de Simone Schlitter pour l'association Cancer Espoir
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Une infirmière scolaire qui a du punch ! 3Un film de Simone Schlitter pour l'association Cancer Espoir
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NB
Les reportages et enquêtes :
Enquêtes sous forme de vidéo auprès de deux amies, infirmières libérales associées, installées à Zoufftgen .Il s'agit de Virginie CASTAGNA et de Laetitia ANDRZEJEWSKI.
Questions :
Voulez-vous nous détailler votre journée de travail, vos difficultés, vos joies, vos peines...Nous décrire aussi la conception que vous avez du rôle d'une infirmière ?
La journée d'une infirmière libérale.Un film de Simone Schlitter pour l'association Cancer Espoir |
NB
Les reportages et enquêtes : Il s'agit ici d'une ITW de Régis Dauphin, kinésithérapeute établi à Zoufftgen (57330). Petit village près de la frontière du Luxembourg. Mr Dauphin ne se cantonne pas à Zoufftgen... Oyez plutôt :
La journée d'un kinésithérapeute (1).Un film de Simone Schlitter pour l'association Cancer Espoir |
La journée d'un kinésithérapeute (2).Un film de Simone Schlitter pour l'association Cancer Espoir |
La journée d'un kinésithérapeute (3).Un film de Simone Schlitter pour l'association Cancer Espoir |
NB
Dans les coulisses du lycée St André:
Ici, nous essayons d'initier le grand public à l'enseignement de l'Optique au travers d'une visite guidée dans les locaux du lycée St André d'Ottange.
Générique du film:
"Visite filmée par Cancer-Espoir
Sur une idée de Simone Schlitter
Intervieweuse : Simone Schlitter
Caméraman : Teddy Ellerkmann
Montage - arrangement image et musique - création artistique : Mr Eric Thiel, directeur technique du Lycée
Avec le concours des élèves et professeurs du lycée, ainsi que le personnel administratif."
Dans les coulisses du lycée St André d'Ottange, département OptiqueUn film de Simone Schlitter pour l'association Cancer Espoir |
NB
Le patient invité à s'exprimer sur P'tit Canard par écrit :
Un patient nous écrit...LES MOUVEMENTS ET MOI...
(Il s'agit de M.S., qui souhaite l'anonymat) :
J'ai 69 ans. Il y a 4 mois, j'ai fait un AVC, et mon côté gauche était paralysé. J'ai suivi des séances de rééducation à l'hôpital, et cela m'a bien aidé. J'ai gagné en autonomie. Mais depuis que je suis rentré à la maison, le kiné ne vient ici que trois fois dans la semaine, me fait faire des mouvements et un peu marcher mais ça ne suffit pas. J'ai peur de marcher seul, même en déambulateur. Je suis déjà tombé, perdant l'équilibre, même au bras de ma femme.Pensez-vous que le quart d'heure que le kiné peut me consacrer (il est trop pris pour rester davantage), puisse suffire pour me rendre plus autonome ? Sinon que faire ?
Réponse de P'TIT CANARD MALADE :
Bien sûr, le kiné fait le maximum dans son temps disponible, et chez vous ne dispose pas non plus de tout l'appareillage « idéal »...Il ne faut pas vous borner à ces seules séances, mais beaucoup travailler par vous même. Si nous comprenons bien, vous passez donc vos journées assis, sans remuer! A ce rythme, vous ne progresserez guère...
Vous DEVEZ bouger. Bien sûr, pas d'imprudence, ne pas vous lancer – encore – tout seul, même avec déambulateur, comme vous n'avez pas encore le pied « assez sûr ». Aujourd'hui, nous vous donnerons quelques conseils pour bouger, assis dans le fauteuil, et par la suite, aussi, pour développer davantage la souplesse et la force de vos jambes. Puisque votre épouse est très consciente du problème, c'est aussi à elle que nous nous adressons : Madame, il est vital que votre mari bouge, sinon tout son corps va risquer de se rouiller, comme on dit ! Il faut qu'il fasse des mouvements (outre ceux avec le kiné), plusieurs fois par jour, pendant au moins encore ¼ d'h chaque fois.L'idéal serait de le répéter toutes les heures. La force et l'assurance lui reviendront en-même temps que ses muscles se re-développeront. Essayez de le dynamiser avec un peu de musique, permettant aussi un meilleur rythme des mouvements. Pour l'instant, assis dans sa chaise, il ne risque rien du tout. (Sauf les escarres, et l'endormissement...) Il faut une volonté énorme pour faire cela « tout seul ». Donc encouragez-le... Nous vous donnons ici, pour vous, et d'autres qui seraient dans un même cas, ces quelques conseils écrits, et, ci-dessous, dessinés... C'est vraiment l'ABC, juste pour vous mettre en confiance. Dans quelques jours, nous vous donnerons la suite...
Bon travail ! P.S. : demandez à votre médecin traitant de vous prescrire une séance de kiné par jour au cabinet du kiné. Posez la question de savoir si l'ambulance assise vous sera remboursée. Sinon, essayez de vous faire véhiculer par ailleurs.
Ces séances journalières vous feraient le plus grand bien. Sans vous dispenser pour autant des exercices que nous vous préconisons, entre temps.
NB gym douce à la Kissel:
Afin de mieux imager encore cette infinité de mouvements possibles en position assise, nous vous présentons quelques séances de gym douce auprès de personnes âgées et souvent handicapées physiquement,à l'Ehpad LA KISSEL de Hettange-Grande. Chacun fait comme il peut, et ce qu'il peut, mais tous sont bien contents de le faire, et ont ainsi un bien meilleur moral, et une meilleure forme physique également!
Gym douce à l'EHPAD La Kissel 1Un film de Simone Schlitter pour l'association Cancer Espoir
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Gym douce à l'EHPAD La Kissel 2Un film de Simone Schlitter pour l'association Cancer Espoir
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Gym douce à l'EHPAD La Kissel 3Un film de Simone Schlitter pour l'association Cancer Espoir
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La leucémie de Dominique Marchal a enfin été reconnue maladie professionnelle - 1è partieUn film de Simone Schlitter pour l'association Cancer Espoir
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Dominique Marchal, agriculteur, nous confie :"Grâce à une lutte acharnée, ma leucémie a été reconnue en tant que maladie professionnelle !"
La leucémie de Dominique Marchal a enfin été reconnue maladie professionnelle - 2è partieUn film de Simone Schlitter pour l'association Cancer Espoir
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LUTTE CONTRE LES MEFAITS DU TABAC
Dans le cadre de notre atelier théâtre et de sa troupe LES BARBIES TURIQUE ET RAC, nous avons monté la pièce LA FEE CIGARETTE, jouée déjà à de nombreuses reprises. Nous venons en particulier de la présenter au Centre Europa de Hettange-Grande. Pour plus de renseignements :[ici]
Les bienfaits du sport...de glace. J'ai pratiqué de longues années durant un sport passionnant : la danse sur glace. J'ai débuté à 45 ans - Puis interrompu, pour reprendre le flambeau à 67 ans. Jusqu'à presque 79 ans. Voyez détails ci-dessous
Sur la 1ère vidéo : 78 ans...je danse avec Christian le canasta-tango à la patinoire de Metz Sur la 2è vidéo : 76 ans...je danse en solo la Golden-Skater-Valse à la patinoire d'Amnéville, dirigée par Steve Sur la 3è vidéo : Ici, en duo avec Steve, le Canasta-Tango C'est un sport qui développe plein de qualités : éducation à la rapidité des réflexes, à la mémoire gestuelle,à la souplesse, à l'équilibre, au courage...renforcement de muscles peu sollicités dans "la vie habituelle", etc.etc. Juste pour vous dire : je suis née en 1931... Je pourrais encore me livrer à ce sport actuellement.(Sans entraînement, bien sûr, ce serait moins gracieux..!) Toutefois, une fragilisation au niveau genou me rendrait vulnérable: je risque de ne plus savoir "bien tomber"...c'est tout le problème...(qui prendrait soin de mon chien dans ce cas !?)
Les bienfaits du sport : Simone à la patinoireLes bienfaits du sport |
Les bienfaits du sport : Simone à la patinoireLes bienfaits du sport |
Les bienfaits du sport : Simone à la patinoireLes bienfaits du sport |
NB
Reportage en vidéo à l'Ecole Energie-Shiatsu de Yutz
Aujourd'hui : lecture par Nicole Lohezic du livre écrit par Simone Schlitter, parlant de son expérience vécu du cancer...Il s'agit du livre Cancer du soir...Espoir
lecture par Nicole Lohezic de quelques pages du livre écrit par Simone Schlitter, Cancer du soir...Espoir, série 1Un film de Simone Schlitter pour l'association Cancer Espoir
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' /!\Si vous souhaitez vous procurer le livre écrit par Simone Schlitter, Cancer du soir...Espoir ! , téléphonez au 03 82 83 42 71. Il est à votre disposition au prix de 17,50€. Le bénéfice est entièrement reversé à l'Association Cancer-Espoir.
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Lecture à haute voix...
lecture par Nicole Lohezic de quelques pages du livre écrit par Simone Schlitter, Cancer du soir...Espoir, série 2Un film de Simone Schlitter pour l'association Cancer Espoir
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Lecture à haute voix...
lecture par Nicole Lohezic de quelques pages du livre écrit par Simone Schlitter, Cancer du soir...Espoir, série 3Un film de Simone Schlitter pour l'association Cancer Espoir
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Aujourd'hui : lecture par Nicole Lohezic du livre écrit par Simone Schlitter, parlant de son expérience vécu du cancer...Il s'agit du livre Cancer du soir...Espoir. Série 4
lecture par Nicole Lohezic de quelques pages du livre écrit par Simone Schlitter, Cancer du soir...Espoir, série 4Un film de Simone Schlitter pour l'association Cancer Espoir
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