« La vieillesse : et la vie continue » : différence entre les versions

De Wikithionville
Aucun résumé des modifications
Aucun résumé des modifications
Ligne 89 : Ligne 89 :
px]]
px]]


[[Fichier:Poème vieux.pdf]]
[[Fichier:PoèmesClairedelaChevrotière.jpeg]]

Version du 22 juin 2017 à 10:31

Lors de l'atelier vidéo santé bien-être de cette année, nous avons choisi le thème de la vieillesse après discussion au sein du groupe. Chacun a pu donner ses idées à propos du thème pour réaliser le film.


Nous avons fait des recherches sur internet et en particulier le films Les vieux de la vieille (réalisateur : , date). Nous avons trouvé plusieurs extraits du film sur youtube.

Erreur lors de la création de la vignette : Fichier manquant


Dans le temps la vieillesse était une dignité ; aujourd’hui, elle est une charge.

Je suis obsédée par l’âge je vieilli nerveuse

c’est merveilleux la vieillesse dommage que ça finisse mal

l’enfance c’est l’envers de la vieillesse c’est ne savoir et pouvoir tout faire

l’age c’est quand les bougies commencent à coûter plus cher que le gâteau 


Ne m’oubliez pas quand vous quitterez ma mémoire vous viendrez parlez des couleurs de la vie quand moi images et visages sombrent dans le noir vous viendrez me donner envie ne pleurez pas quand mon regard vide ne répond pas vous vous souviendrez des mots intimes à garder dans nos cœurs quand moi je serai un inconnu qui m’ouvre les bras vous pourrez par bonheur ôter mes pleurs ne vous éloignez pas quand malgré moi je m’en irai loin de vous quand pour moi le tu deviendra vous vous trouverez encore en vous la joie d être avec moi

choisi par Savéria

VIEILLIR

lorsqu'on vieillit, les joies naguère éprouvées

Deviennent tourments, la source claire se ternit,

La douleur a perdu ses saveurs passées 

Alors on se console:bientôt tout sera fini.


Ces choses combattues jadis si ardemment :

Les charges, les obligations, les attaches,

Se sont muées en un refuge réconfortant :

On voudrait bien chaque jour accomplir sa tâche


Mais ce civisme n'apaise guère les remords,

Notre âme à soif de grandes envolées joyeuses,

Au delà d'elle même, elle pressent la mort

Et la respire avec une volupté furieuse


( vieillir extrait de L’éloge de la vieillesse, de Hermann Hesse,
édition Le Livre de poche 2009 / biblio roman / page 34)



300 px