« P'tit canard des grandes personnes » : différence entre les versions

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<center><FONT SIZE="3" FACE="Geneva">Magazine rédigé et illustré par Simone Schlitter pour l'association '''Cancer Espoir'''.</FONT></center>
<center><FONT SIZE="3" FACE="Geneva">Magazine rédigé et illustré par Simone Schlitter pour l'association '''Cancer Espoir'''.</FONT></center>


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Version du 10 octobre 2014 à 22:59

Retrouvez le second magazine "P'tit canard malade" en cliquant [ici] !
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Magazine rédigé et illustré par Simone Schlitter pour l'association Cancer Espoir.


/!\ ACTUALITES :

19 avril 2014 : Les bienfaits du sport (de glace...)

05 avril 2014 : Editorial n 6 : Les bis, biz, bises, bisoux et autres gâteries...

03 avril 2014 : Vidéo - Répétition de la Fée Cigarette avec les élèves du Collège

15 mars 2014 : Editorial n° 5 : la famille des trois canards

08 mars 2014 : Vidéo : Dans les coulisses du lycée St André, département Optique

08 mars 2014 : Vidéo : la parole est donnée au kinésithérapeute

06 mars 2014 : Vidéo : une infirmière qui a du punch !

06 mars 2014 : Vidéo : la journée d'une infirmière libérale

06 mars 2014 : Vidéo : gym douce à la Kissel de Hettange-Grande

28 février 2014 : Editorial n° 4


20 février 2014 : Vidéo de sketchs extraits de la Fée Cigarette au forum

5 février 2014 : Editorial n° 3

1er janvier 2014 : Editorial n°2

19 décembre 2013 : Partenariat avec le Collège Jean-Marie Pelt de Hettange-Grande

17 novembre 2013 : Editorial n° 1

16 novembre 2013 : Introduction à l'Editorial


28 octobre 2013 : Retrouvez des informations sur notre notre club théâtre !

16 octobre 2013 : Découvrez les nouvelles blagues de Jean-qui-rit-et-ne-pleure-pas !



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Bonjour chers amis et amies ! Je me nomme Simone. Je suis Présidente-Fondatrice de l'Association de malades CANCER ESPOIR. Nous avons notre siège à Zoufftgen (au Nord de Hettange-Grande), au n° 3, rue des Peupliers, dans la maison où je réside. Nous faisons aussi partie d'Intercom-Santé 57, laquelle regroupe des associations de malades, et se situe à Thionville. Personnellement, toujours pour mon association qui lutte contre le cancer, je m'occupe aussi du magazine ALLÔ DOCTEUR, sur le site d'Intercom-Santé 57. Dans ce magazine de santé, nous réalisons un maximum de reportages sur la santé, le paramédical et l'hygiène de vie. Pas forcément uniquement donc sur le cancer... Car tout se tient...

Ici, sur le présent site, mon propos sera surtout de faire mieux connaître l'association par... du rire... de la joie... des petits reportages sur ce que nous entreprenons (gym pour les personnes âgées, théâtre, et j'en passe...). Pour l'instant, je fais cela à titre d'essai et sans plan de travail.

J'aimerais que vous me disiez ce que vous en pensez , soit :


J'aimerais vraiment bien... !





Voici notre logo. J'espère qu'il vous plaira :

Que les messieurs ne se sentent pas exclus en face de la danseuse – choix résolument féminin...

c'est une femme qui l'a créé, n'est-ce pas... !

Il veut surtout montrer le tonus, l'élan actif, la psychologie fonceuse, toutes vertus qui vont s'opposer à la maladie.

Le rose, c'est pour la douceur, et le vert... devinez !





Ce qui est présenté dans la suite de cet article :

  • Introduction à l'éditorial
  • Editorial n° 1, 2, 3, 4
  • Gym douce à la Résidence pour personnes âgées de la Kissel à Hettange-Grande
  • Notre club théâtre
  • Le mot de la Présidente
  • Précision sur l'association et ses activités
  • Reportages et enquêtes
  • Les blagues de Jean-qui-rit-et-ne-pleure-pas :
    → BD:Ma cuisine au mois d'août
    → Trouvez la suite dans P'TIT CANARD BAVARD ET VANTARD----

NB

Introduction à l'éditorial de la Présidente :


Parfois, lorsqu'ils - elles - peuvent s'en prendre le temps, les Présidents et Présidentes des associations écrivent des éditoriaux. Vous trouverez les miens, régulièrement, dans Allo Docteur du site Intercom-Santé 57 (c'est devenu presque une tradition...)De temps à autre, je me ferai un plaisir d'écrire, ici, dans ce contexte, quelque chose qui a un rapport avec...avec quoi, au fait !? Par exemple avec la santé - ce qui semble super-logique pour une association de malades, telle que la nôtre. Mais, en y réfléchissant un peu, notre domaine d'intérêt doit dépasser ce cadre strict : nous sommes tous concernés par l'éthique, par les problèmes de société, l'environnement - et la maladie est imbriquée dans tout cela. L'éditorial reflète la personnalité de son auteur. C'est précisément ce qui lui confère son piquant...et souvent son charme, et son intérêt, par rapport à un article "ordinaire".

Ne vous étonnez donc pas si, en accord avec notre comité, j'y exprime certaines opinions et tendances - rassurez-vous : pas du tout politiques dans le sens où on l'entend, en général ! Et parfois, pour nous détendre tous, je me permettrais "de l'humour pur", même dans l'éditorial, car, la maladie, il faut l'étudier, la combattre, et encore mieux la prévenir...et le rire n'y est pas étranger non plus ! Je revendique donc le droit au rire - et même au rire bienfaiteur et qui s'étale grassement...Voyez par exemple : blagues et bandes dessinées qui clôturent la rubrique...Dans ce premier éditorial qui va suivre, je revendique "Juste un brin d'humour"...

NB
Editorial n° 1


Comment une belle corbeille peut tomber du ciel et atterrir dans la tombola sous le chapiteau du forum des associations

Je plaide de suite « non coupable ». Je ne suis raciste ni de près ni de loin ! J'aime tout le monde. Les gentils plus que les arrogants, bien sûr, mais l'un dans l'autre, je suis très tolérante, même vis à vis des toutous qui viennent faire pipi contre mon grand thuya !

Toutefois, vous l'admettrez, il est agaçant de se voir, quasi quotidiennement, harcelée au téléphone par une petite voix douceâtre, parfois un brin zézéyante, vous demandant : « Vous zêtes Matame Zimone Slitter!?Vous situez directement la personne du côté de Pékin, n'est-ce pas, surtout lorsque le même accent se répète pendant des jours et des jours. Probablement (j'ai un grand désir d'être équitable), probablement donc n'appartenant pas à la même personne... Les luxembourgeois présentent, avec les pékinistes, pardon, les asiatiques, un point commun surprenant ...Oyez donc : « Tson Tchin tchon » signifie en luxembourgeois : le soleil brille déjà « Tson tchin tchon tsou tcheng » : le soleil brille déjà trop fort !

Vous allez comprendre tout à l'heure pour quelle raison particulière cette ressemblance me vient à l 'esprit... Donc, lassée de perpétuels coup de fils intempestifs, surtout au moment (sacré) de midi, donnés par un régiment de personnes bien intentionnées, formatées pour être polies-gentilles, en même temps que parfaites vendeuses de produits x ou y, made in France (ou ailleurs), toujours les plus performants, pour le meilleur rapport qualité-prix, et accompagnés, le plus souvent, d'un cadeau substantiel dont mieux vaut vous abstenir d'essayer de saisir les contours, faute de quoi votre main se trouverait happée en même temps que votre petit doigt dans les détours d'un engrenage fatal.

Plusieurs solutions s'offrent dès lors au harcelé : raccrocher simplement ou dire :non ça ne m'intéresse pas, et raccrocher. Ou dire : vous m'em...et raccrocher Ou dire:non, Zimone Slitter n'habite pas ici, il y a erreur Ou dire : Zimone Slitter n'est pas là, je ne sais pas quand elle rentrera Généralement j'utilise cette dernière formulation, qui me permet de rester neutre et polie.

Donc, l'autre jour, petit coup de fil d'un monsieur qui me dit : « Vous êtes Madame Zimone Slitter !? » Bouhhh...j'avais quelques doutes sur la provenance de l'appel, car il s'agissait d'une voix d'homme. Je répondis prudemment : « Heuhe...oui...eeeh... » Lui (de sa voix la plus charmeuse) : « Enchanté, Matame, j'ai pour vous un beau cadeau ! » Moi (un peu de mauvaise humeur) : »Non, ça ne m'intéresse pas ! » Lui : « Je vous offre un cadeau, et ça ne vous intéresse pas, ah ben ça, c'est bien la meilleure !! » Moi (hargneuse) : non ça n'm'intéresse pas du tout !! Lui : « ben laissez-moi vous dire que vous êtes une personne impolie, et pas gentille du tout » ! Moi : »Ah ben, monsieur, à présent, vous dépassez la mesure ! Aurevoir ! » Et je raccroche... Trente secondes plus tard : Gringgggg... Cela m'a tout l'air d'être un sacré acharné... Je décroche et raccroche aussitôt ! Regringggg... Oh, là, c'est bizarre quand même, une telle obstination...Je décroche... Lui : »Matame, vous êtes fraiment pas gentille, alors que c'est vous-même qui avez réclamé ce cadeau !! » Moi : »hoh, vous voulez rire !! » Mais non, Matame, j'ai là une lettre de vous, de Cancer-Espoir, c'est bien ça !? Moi : »heuhhh... » Lui : »Oui, elle est même datée du...septembre 2013, et au nom de Cancer-Espoir, elle demande à C...., au Luxembourg, de donner un cadeau pour la tombola !!! »

Un ange passe...nous avions bien rédigé une lettre de demande, remise à notre trésorière dévouée, Christine K...,elle-même chef des ventes à Luxembourg, pour les célèbres produits B..., afin qu'elle puisse s'en prévaloir, auprès des maisons acheteuses, aux fins que celles-ci soient incitées à une certaine générosité vis à vis de notre association. Dons en nature, donc (belles coupes et paniers avec vins fins, pâtés de foie gras,et j'en passe....) qui pourraient servir lors d'une tombola. Et comme cette année, nous n'organisions pas de tombola nous-mêmes, ces dons étaient prévus pour être remis au CCAS de Thionville, pour la tombola du célèbre forum, lequel s'est tenu cette présente année, place de la Liberté, le 19 octobre. Et où, donc, un heureux gagnant de l'une des deux coupes que nous avions ainsi été en mesure d'offrir, ne sut jamais que cette coupe n'a pu lui être offerte que parce que je m'étais abstenue de raccrocher, une 2è fois, le téléphone au nez du directeur de l'un des magasins C...., au Luxembourg, lequel avait la malchance de m'avoir dénommée Zimone Slitter en lieu et place de :

Simone Schlitter Présidente-Fondatrice de Cancer-Espoir

Et pendant que je me dis, rêveuse : " Décidément, ces luxembourgeois, avec leur accent "...lui-même doit encore maugréer : "Ces françaises, quand même, avec leurs exigences, faut se lever de bonne heure pour les contenter !!"



NB

Editorial n° 2

Soir de réveillon

ou bien

Promesse au chéri pour 2014

(Toutes reproductions permises)


Je promets et je le jure :

Je ne ferai pas brûler les pommes de terre rôties

Je confectionnerai le repas pour midi et demi pile

Les jours pairs

Les jours impairs, je couvrirai la table pendant que tu mettras la dernière main au civet de lapin

Je ferai preuve d'une grande patience

Ne crierai plus

Ne ferai plus la gueule

Et serai d'une douceur extrême

Je ne te noierai plus sous un flux de paroles

Ni sous un flux de questions

Ni sous un flux d'affirmations

Ne parlerai plus du sexe d'un air méprisant

M'abstiendrai de toute perfidie

Serai là quand tu souhaites me parler

Pas là quand tu ne le souhaiteras pas

Sans provoc ni râleries aucune

Et je n'oublierai pas de dépoussiérer mon ordinateur

Et ne ferai jamais bouillir le café

Je rentrerai des courses à l'heure dite

Et ne me coucherai jamais à une heure du matin, sauf pour Nouvel-An ...

Mais attention ! C'est juré, OK !!

Mais pas sur la tête de ce que j'ai de plus cher au monde, quand même !!



NB


Editorial n° 3

Hélicobacter Horribilus Piloris


Monica (on va la dénommer ainsi) me l'avait décrit d'une façon inoubliable ! Elle hébergeait cette horripilante bestiole dans son estomac, bien au chaud, au milieu des gargouillements de ses sucs gastriques. Et Mathilda (on va l'appeler ainsi) avait cru bon, pour la consoler, d'affirmer : Oh, tu sais, vue sous le microscope, une araignée, transformée en éléphant, te ferais piquer un sprint, vite fait, bien fait !

Monica suivait un traitement de choc, tous les 6 mois, pour exterminer la bestiole horripilante, responsable de ses ulcères d'estomac, et de beaucoup d'autres crimes, dont celui de provoquer des cancers à tour larigo.

Le traitement consistait en une énergique purge aux antibiotiques. Ça s'appelait « trithérapie » (pas celle concernant le sida quand même!)

Je m'étais sagement tenue coite. J'avais juste avancé timidement : Ben, tes entérocolis, au niveau de ton colon, t'en fais quoi !? » Timidement, j'avais juste prétendu, de plus : « Moi, je m'étais dégonflée, vue la trithérapie qui te donne à tous les coups une triple chi...chi...chiante!! « (C'est le cas de le dire!)

« Oh mais, rétorqua péremptoirement Monica, quand y faut, y faut !! Le toubib l'a dit ! Donc j'le fais ! C'est bête : la bestiole renaît de ses cendres, tous les 6 mois, mais on verra bien laquelle de nous deux sera l'ultime...vainqueur...Elle eut une ultime hésitation (devait-elle dire:vainqueuse »?)

C'est bête , songeais-je, depuis le temps qu'ils parlent de l'égalité des sexes, ils auraient bien pu mettre « vainqueur » au féminin...mais non, vérification faite dans le Petit Larousse, il n'y a que des vainqueurs hommes ! (Les professeur(e)s, peu à peu, se féminisent – tout comme les auteur(e)s – mais pas encore les docteurs...)

Et sur ce, me revinrent en mémoire, opportunément les croquettes de Mister Yack, lesquelles risquaient le soir même de tomber en pénurie, entraînant par-là même tout un cortège d'embêtements du genre : « tu vois bien qu'j'ai pas mangé à ma faim, qu'est-ce que t'attends pour me r'filer tes restes ? – Non pas ton reste de soupe aux poireaux, plutôt tout le gras d'la viande que t'allais j'ter, j'l'ai bien vu... !Eh, s'il te plaît, sois un peu polie, aussi...ne lis pas pendant qu'tu manges, refiles-moi juste le nonos au bout d'la table, avec une p'tite caresse, si ça va. Et p'têtre ben, du coup, j'te foutrai la paix... ».

Oh, vite, les croquettes de Mister Yack, à l'hypermarché du coin ! Et là, par quelle association d'idées m'étais-je remise à songer à Hélicobacter Horripilus ? Peut-être même horribilus, en plus!C'était arrivé comme ça : j'oubliais régulièrement de me munir de ma loupe pour scruter les secrets d'alcove – je veux dire : ce qui était écrit tout petit sur les gros paquets de produits préfabriqués-précuits et préemballés. Mais j'avais mis au point une tactique qui s'appuyait sur la méthode statistique globale, pour compenser mon défaut de vision et de mémoire : Plus longue était la liste des additifs, conservateurs, acide machin, aspartame et amstramgram, et moins j'achetais...Parfois je risquais même de souffrir de la faim, ne me prenant pas toujours le temps de cuisiner « du frais », et me refusant absolument à nourrir mon propre Hélicobacter Piloris de tout ce dont il était très friand, à savoir : additifs, colorants, conservateurs, acide machin, aspartame et amstramgram.

Car mon Hélicobacter à moi, il restait tapi, le plus souvent, à moitié endormi, dans un petit racoin de mon estomac. Mes défenses naturelles avaient dû le neutraliser.Mais si jamais je m'avisais de lui distribuer, deux journées de suite, les bonnes substances susdites, dont il raffolait, bing et bang et ratatang, il me labourait la panse de ses dents de requin – si bien que j'avais trouvé ce compromis, finalement bien pratique : plus la liste était longue, moins j'achetais, et mieux je me portais.

Mais allez donc dire ça à quelqu'un qui croit en les vertus de la « trithérapie ». Je risquais de me faire lapider au même titre que si j'avais nié l'existence de Mahomet, du Dieu des chrétiens, ou de Jéhovah ! Ce n'était pas tous les jours facile. Certains jours, j'errais dans les travées, saisie d'un irrépressible besoin d'absorber quelques protéines, autres que celles des œufs des poules élevées « à l'air libre » - ou « au grand air », ou « en liberté », je ne sais plus trop. Et d'ailleurs je n'avais jamais réellement su dans quelle mesure les œufs bio avaient été pondus par une poule courant picorer les vers de terre dans le pré, ou plutôt les cous déplumés de ses voisines encagées. J'étais certaine d'une chose : il fallait à tous prix que j'évite la belle viande très très rouge dont la bouchère, souriante et active, se plaisait amoureusement à débiter, de son couteau bien aiguisé, de superbes tranches. Depuis qu'un jour un jeune boucher, aussi naïf qu'un peu trop bavard, m'avait avoué en aparté, qu'on trempait la viande dans un colorant rouge, avant de la placer en étalage, je faisais semblant de regarder ailleurs, en passant, toute raide, devant de gentilles filles qui ne souhaitaient qu'une chose : me couper, avec leur couteau bien aiguisé, une belle tranche d'entrecôte piquetée d'un brin de gras, un brin rosé (quand la graisse, et la moëlle de l'os sont rosés, c'est que la viande est colorée – ça rime...et c'est vrai! Et ça rime encore...). Vous voulez la preuve !? Prenez un bon kg de bœuf pour le pot-au-feu (rondelle ou haute-côte, par.ex.). Faites tremper la veille (sans chauffer) dans votre grande marmite. Le lendemain matin, récupérez l'eau : elle est rouge. Récupérez la viande : elle est devenue blanche... Ensuite, ben, agissez selon vos goûts, et votre appétit ! Du temps de ma mère, ça n'existait pas ! L'eau restait blanche, et la viande rouge. Sauf dans un cas particulier : lorsque ma mère cachait son porte-monnaie en maroquin dans la cocotte-minute, avant d'aller ouvrir quand ça sonnait à la porte. Dans ce cas, par contre, le bouillon de bœuf était vert. Mais les billets de banque parfaitement récupérables.

Sur ce : bon appétit à tous et à toutes (du fond du cœur!) Simone


NB

Editorial n° 4

En ce temps-là...


Pour mon 4è bébé, j'avais accouché à domicile. Pour les 3 précédents, j'avais élu domicile à la maternité de Beauregard, celle-ci ayant eu tout loisir, depuis des lustres, d'être transférée rue de Friscaty. Là où, depuis le 2è étage, vous visionnez les HLM rénovés de la Côte des Roses, et, d'un peu plus haut, la fière forêt des quartiers du seizième – pardon : la forêt de Guentrange.

En bref, mon 4è bébé était né « à la maison ». Aujourd'hui, avec tous nos progrès, cela mériterait plus qu'un petit entrefilet en page région, peut-être. Mais à l'époque, c'était tout ce qu'il y avait de plus normal.

En ce temps-là, les souffrances de l'accouchement n'étaient pas appréhendées. Personne n'était conditionné pour ce faire. Elles paraissaient « normales », ces douleurs. Bienfaisantes. Libératrices. (Forcément!). Et le prélude à toutes les joies et douleurs que les jeunes parents seraient forcément amenés à éprouver lors de leur parcours sur le carton d'un jeu de l'oie particulier, où l'on ne retombe jamais 2 fois de suite sur la case départ.

En ce temps-là...la vie était si belle...

Belle, vraiment !? Oh oui ! Avec de l'amour, elle était toujours belle. Même dans la douleur. Surtout dans la douleur. Surtout avec le risque. (Il n'y a rien de plus triste qu'une vie trop lisse).

Notre sage-femme, en laquelle nous avions placé – sans réflexion ni enquête préalable – toute notre confiance – et nous l'avions bien placée – avait retroussé ses manches, revêtu un grand tablier blanc, désinfecté sa seringue, et elle m'avait aussi expliqué que cela était prévu pour faire accélérer les choses. J'avais poussé, poussé, ainsi que j'en avais une certaine habitude, et le bébé avait vu le jour. Il avait crié, normalement. Il avait été baigné. L'eau avait été mise à chauffer sur le gaz dans une bouilloire. Le bébé était une fille, d'ailleurs. (La première et l'unique fille, en fait.)

Pour mes quatre accouchements, une sage-femme s'en était occupée. Pour mes trois premiers, une alerte sexagénaire, qui régnait à l'époque sur son petit monde, à la maternité de Beauregard. Ensuite, une quinqua, les mains rougeaudes, pétant la santé, issue du monde paysan, laquelle personne, en matière de « cabinet », à « Basse-Yutz », disposait, sans que cela ne la gênât le moins du monde, d'un appartement privé, standing moyen, jouxtant la grange où s'ébattait un cochon tout rose, au milieu d'une basse-cour caquetante.

J'étais passée par les mains d'un gynéco, néanmoins, en début de grossesse. Juste pour le diagnostic. En ce temps-là, les accouchements par les gynécos se réalisaient principalement dans des cliniques privées, et leur fréquence ne se comparait pas à celle d'aujourd'hui.

Les césariennes existaient. Elles étaient craintes. Et heureusement rares. Aujourd'hui, « c'est monnaie courante ». J'ai un jour dans une certaine revue eu l'occasion de prendre connaissance de l'opinion d'un chirurgien, vieux en âge autant qu'en expérience, semble-t-il. Son propos se résumait à ceci :

«  Il y a abus de césariennes ! Il faut arrêter avec ça ! »

Mon idée perso :

L'utérus, pour une femme, c'est aussi important que le sexe avec un grand S, pour un homme...Peut-être serait-il opportun – dès lors - ceci dit tout à fait timidement – de se poser publiquement la question de déterminer où, quand et comment, le coup de bistouri est réellement donné « à bon escient », et ce qu'est exactement « le bon escient ».

Je prononce le mot « timidement », car je ne suis ni spécialiste de la chose, ni même modeste généraliste. Je suis une femme, quidam parmi de nombreuses autres, (avec – ô joie – un utérus en l'état) – une femme à qui il arrive de réfléchir sur les pratiques actuelles de notre société, avec une sorte de recul « d'historien ». Différence : chez moi, ce n'est pas la culture qui fait « l'historien », c'est une longue vie bourrée de joies, d'embûches de toutes sortes, de comparaisons, de réflexions... de lectures, aussi. D'observations. Et, il faut le dire : de souffrances multiples. Dont certaines auraient pu, et du, être évitées. Si certaines questions s'étaient posées, aux bons moments.

Mais j'en reviens à mes mout...à ma présente mouture : (les péridurales) Quant à celles-ci, donc, elles permettent aux futurs parents de voir pointer le bout du nez de leur progéniture sans souffrir d'autres affres que celles de la peur et de l'appréhension. Suivies, heureusement, le plus souvent, de l'exaltation en face de ce nouveau miracle de la création : une petite vie nouvelle, qui va prolonger la vôtre, pour l'éternité, si Dieu le veut !

Encore que, dans l'entourage ouaté et stérilisé de nos salles d'accouchements actuelles, il est permis de penser que la peur soit mise en sourdine, en-même temps que l'agressivité des microbes.

Toutefois, l'autre jour, j'ai eu à faire à une jeune femme, grande, saine, et courageuse, qui m'a raconté qu'elle venait de refuser, en accord total avec son époux, une péridurale qui, selon eux, n'avait plus rien de naturel ».

Tout s'était bien passé...Le futur papa tenant la main de sa compagne et l'encourageant aux efforts. Elle, avait souffert physiquement, et lui, juste dans son cœur...Mais souffrir physiquement, est-ce que cela n'est pas, d'un côté, plus rassurant que de souffrir « dans son coeur » ?

Ils avaient eu l'impression, tous les deux, d'avoir, « à eux deux tout seuls », mis leur bébé au monde. C'était, certes, aussi, beaucoup, grâce à la sage-femme. Un peu, probablement, aussi, grâce au gynéco. Mais « le vrai travail », il avait été fait par eux deux, tout seuls !

Moi, je trouve que c'est super, de pouvoir être fiers, entre autres, pour cette raison-là !


Signé : Simone


P.S.


Je lis à l'instant dans Fémina du RL p.32 : « Feu vert pour les maisons de naissance », qui existent, nous apprend-on, déjà, en Allemagne, Belgique, Pays-Bas, Suisse, Etats-Unis, Canada – où elles remportent un vif succès....Fin novembre, nos députés auraient adopté une proposition de loi autorisant en France leur expérimentation durant 5 ans. . Un peu plus loin, on nous explique : Il s'agit de maisons où les femmes, ne souhaitant pas (ou plus) l'environnement médicalisé de l'hôpital vont pouvoir accoucher naturellement, sans péridurale. ».

Vous avez dit « télépathie » ?!


NB

La famille des trois canards


Editorial n° 5


Les canards ne sont pas aussi prolifiques que les souris ou les lapins. Quoique- bien nourris – leur taux de fécondité puisse honorablement se comparer à celui des poules nourries en plein air, ou des poulets bio. Ou même à celui des jeunes hommes non coincés dans leur jeans, ou à celui des jeunes filles non soumises à la contraception.

Excusez l'incongruité (toute relative) de ces comparaisons – mais personnellement je représente (entre autre) le troisième « p'tit canard » de la famille, dénommé, à juste titre : P'tit canard bavard. Et tout comme ce dernier, même pas sorti de l'oeuf, s'apprête déjà à projeter de bruyants couâc(s) aux alentours, moi-même me permets donc des comparaisons – fussent-elles incongrues – simplement pour le plaisir de les diffuser – aux alentours.

Au départ, donc, existait Le p'tit canard des grandes personnes.

Celui-ci donna naissance à P'tit canard malade – dont tous les organes se portaient plutôt bien. Bien nourrit et assez vorace, il grandit assez vite, d'ailleurs, s'ébrouant plaisamment dans sa mare.

A présent donc, le géniteur patriarche, P'tit canard des grandes personnes, a couvé un énième œuf, prêt à éclore, et en prêtant l'oreille, l'on entend déjà les raclements du bec du petit impatient, prêt à percer la coquille.

Entre autres couacs, le projet est de concilier deux aspirations : celles du lecteur amoureux de lecture, et celle de l'auteur, amoureux d'écriture...

Voici le projet du faire-part de naissance. J'espère qu'il vous plaira !

Votre Sim




NB

Editorial n° 6


Les bis, bisous, biz, bises, bisoux, et autres gâteries

Paraît-il que les chinois, (à moins que ce ne fussent les esquimaux...?) pour montrer qu'ils s'aimaient bien, se frottaient, nez contre nez. Nous, maintenant, en France, ce serait plutôt joue contre joue. Je ne parle pas du bouche-à-bouche, bien sûr, dans un autre contexte, celui-là. Situons les choses clairement :j'entends ici le contexte des bonnes relations, tout bêtement, entre copains, amis, ou similaires.

Curieux comme les mœurs évoluent...Il y a une cinquantaine d'années de cela – comme je suis très jeune, je m'en souviens parfaitement – l'on s'embrassait « bouche contre joue ». Aujourd'hui, c'est joue contre joue, car avec le rouge à lèvre, on ne sait jamais. Et puis, l'hygiène aidant...Autrement dit, si vous aviez l'habitude de placer un baiser sonore sur la joue de votre bonne copine, ou copain presque préféré, à présent, méfiez-vous. Visez plutôt carrément le creux de l'oreille que le coin de la bouche. Par contre pas de sonorités, sinon vous allez risquer de crever les tympans sensibles !

Certes, on se sert encore la main, mais de moins en moins. Certes, une bonne poignée de main, cordiale et franche, est toujours appréciée, celui qui a la main molle hérisse toujours autant. Celui qui condescend, de toute sa hauteur, à abaisser sa main pour vous la tendre irrite, de même, toujours autant. Toutefois, peu à peu, nos rites ont tendance à glisser vers le joue à joue. Certes, celui – ou celle – qui condescend à vous tendre généreusement sa joue, énerve toujours, et celui ou celle qui spontanément vous plaque un baiser sonore et bruyant du côté où vous avez mal aux dents trouve encore, le plus souvent, néanmoins, grâce à vos yeux.

Les biz ( ou bises), se distribuent à présent à tire-larigot. Comme il n'y a pratiquement pas de contact physique (surtout si c'est par lettre ou mail), on risque peu, d'ailleurs, la contamination. C'est un moyen aimable d'entretenir, sinon d'excellentes relations, du moins d'en garantir « la lissitude ». J'entends par là le côté lisse. Je veux dire le côté gentillet. Sans méchanceté, quoi ! Et parfois même avec gentillesse.

Certes, les biz (ou bises) se distribuant dans tous les azimut, tout le temps, ont, comme la monnaie qui se dévalue, par eux (ou elles)-mêmes, peu de valeur.

Pour bien marquer le coup, d'ailleurs, les personnes à la sensibilité à fleur de peau préféreront vous écrire : « je t'embrasse ». C'est plus imagé. Moins banal. Cela signifie : « je me rapproche de toi, te prends dans mes bras, te serre, et te fais la bise, entre vrais amis, cela en vaut bien la peine ! » Et certains, même, à force de le dire, finissent par le croire.

Ô, que de sarcasmes ! Que m'arrive-t-il pour plaisanter ainsi à propos des quelques rares bonnes choses que nous réserve l'existence !?

Vite, revenons à de meilleurs sentiments : Si les biz-bises (ne pas confondre avec bisbilles) se sont ainsi dévalués, à force d'être distribués davantage encore que la pub dans votre boîte à lettres, essayez voir de refuser une poignée de main, ou des biz, à quelqu'un qui vous les offre ! Moyen simple, facile, radical et peu coûteux d'offenser à mort ! Un conseil : ne le faire que dans des cas précis et graves, sinon vous risquez de faire le vide autour de vous, les gens tombant à vos pieds comme des mouches.

Allez, comme je suis de très bonne humeur ce jourd'hui, je vais vous confier un truc : en fait, des biz, bises et bisoux, j'en donne beaucoup. Certes, partout aux alentours, aux copains, copines, personnes amies à diverses degrés, et même à ceux et celles qui font juste semblant de l'être. (Il faut bien vivre avec son temps, que voulez-vous...).

Mais lorsque je vais voir mes amis et amies, recluses, dans des maisons spécialisées pour suppléer aux bons soins qu'aucun conjoint, qu'aucune famille, ne peut plus assurer, je donne « de vrais baisers », souvent sur les deux joues. C'est pur égoïsme de ma part. Car cela me réchauffe le cœur de sentir l'onde de bonheur qui émane de ces joues creuses, osseuses, à la peau blanche et toute plissée, lorsque j'appuie mes lèvres, à quelque part, sur leur visage. Oh, parfois, consciente de la perfection du tracé de mon rouge à lèvres, j'essaye de tricher un peu. J'essaye de faire, juste, du « joue-à-joue ». Alors, je sens la personne que je fais ainsi semblant d'embrasser se révulser, et les ondes de sa déception qui me bombardent de partout. Alors, vite, j'embrasse « vraiment ». Et, aussi vite, ces gens, mes frères, mes sœurs, qui peuvent encore bouger, beaucoup, un peu, ou presque plus, me saisissent la tête, frémissent, et, avec plus ou moins de bonheur, m'étreignent, et m'embrassent « vraiment »... Et me disent « merci » ! Et je comprends bien que cela veut dire : »merci du fond du coeur » !

Alors je réponds : « je vous défends de me dire merci ! ». C'est MOI qui VOUS remercie !

Oh, bien sûr, dans la vie de tous les jours, pour faire comme tout le monde, je reçois des centaines de biz-bises et les redistribue. Sans trop y penser., d'ailleurs. Machinalement.

Mais, à quelque part, j'ai des goûts d'esthète. Ne le répétez pas : j'aime l'authentique !

Votre Sim





Les reportages et enquêtes :

Dans le cadre de "éducation à la santé et à l'hygiène de vie", l'un des objectifs principaux de l'association Cancer-Espoir, nous vous présenterons dans cette rubrique des reportages concernant le médical ou le paramédical, ou encore l'aspect social qui s'y rapporte. Ceci sous forme de reportages écrits OU de vidéos filmées.Tous ces reportages sont effectués dans le cadre d'un bénévolat réciproque.

Voyez ci-dessous :


Enquête auprès de Régis DAUPHIN, kinésithérapeute établi à Zoufftgen.


QUESTION : Veuillez nous décrire "une journée de travail ordinaire" parmi d'autres



NB

Les reportages et enquêtes : Il s'agit ici d'une ITW de Régis Dauphin, kinésithérapeute établi à Zoufftgen (57330). Petit village près de la frontière du Luxembourg. Mr Dauphin ne se cantonne pas à Zoufftgen... Oyez plutôt :


La journée d'un kinésithérapeute (1).

Un film de Simone Schlitter pour l'association Cancer Espoir


La journée d'un kinésithérapeute (2).

Un film de Simone Schlitter pour l'association Cancer Espoir




La journée d'un kinésithérapeute (3).

Un film de Simone Schlitter pour l'association Cancer Espoir




NB


Enquête sous forme de vidéo auprès d'une infirmière scolaire, au collège Jean-Marie Pelt de Hettange-Grande

Bénédicte PETIT-MEYER va nous entretenir de sa mission d'éducatrice à une bonne hygiène de vie et à la santé auprès des collégiens

Elle sera, dans le cadre de notre ITW, amenée à développer de nombreux points, dont quelques-uns, non exhaustifs, ci-dessous :


QUESTIONS :

Depuis combien de temps exercez-vous la profession d'infirmière ? Depuis combien de temps exercez-vous dans un collège ? Pourquoi avoir choisi précisément d'exercer votre profession sous cette forme particulière ? Nous avons cru comprendre que votre rôle ne se borne pas exactement aux soins de quelques bobos ou malaises – le plus souvent et heureusement – sans gravité – mais ce rôle dépasse largement ce cadre...puisqu'il aborde une véritable éducation à la santé, et ceci sous de nombreuses formes...Nous aimerions que vous développiez à présent ce que vous réalisez, dans ce cadre, précisément...


Nous laisserons Mme PETIT-MEYER développer dans le détail les différents aspects de la chose, et nous bornerons, par-ci, par-là, de demander quelques précisions.

D'avance, nous la remercions vivement d'avoir accepté, avec énormément de bonne grâce, notre proposition d'interview, et de nous avoir entrouvert...un monde ignoré...à savoir le rôle éducatif très réel et efficace que peuvent jouer à présent les infirmières scolaires « qui en veulent »!Aussi bien au niveau de la relaxation, contre le stress – au niveau du « bien dormir » et de « l'assez dormir », en abordant aussi les problèmes de la propreté, de la nutrition, des bonnes attitudes pour ménager son dos, et beaucoup d'autres choses qu'une fois grand, les patients occultent fâcheusement, trop souvent satisfaits de se contenter de « guérir » plutôt que de « prévenir »...




Une infirmière scolaire qui a du punch ! 1

Un film de Simone Schlitter pour l'association Cancer Espoir




Une infirmière scolaire qui a du punch ! 2

Un film de Simone Schlitter pour l'association Cancer Espoir




Une infirmière scolaire qui a du punch ! 3

Un film de Simone Schlitter pour l'association Cancer Espoir









NB

Les reportages et enquêtes :

Enquêtes sous forme de vidéo auprès de deux amies, infirmières libérales associées, installées à Zoufftgen .Il s'agit de Virginie CASTAGNA et de Laetitia ANDRZEJEWSKI.

Questions :

Voulez-vous nous détailler votre journée de travail, vos difficultés, vos joies, vos peines...Nous décrire aussi la conception que vous avez du rôle d'une infirmière ?



La journée d'une infirmière libérale.

Un film de Simone Schlitter pour l'association Cancer Espoir



NB

Dans les coulisses du lycée St André:

Ici, nous essayons d'initier le grand public à l'enseignement de l'Optique au travers d'une visite guidée dans les locaux du lycée St André d'Ottange.

Générique du film:

"Visite filmée par Cancer-Espoir

Sur une idée de Simone Schlitter

Intervieweuse : Simone Schlitter

Caméraman : Teddy Ellerkmann

Montage - arrangement image et musique - création artistique : Mr Eric Thiel, directeur technique du Lycée

Avec le concours des élèves et professeurs du lycée, ainsi que le personnel administratif."




Dans les coulisses du lycée St André d'Ottange, département Optique

Un film de Simone Schlitter pour l'association Cancer Espoir




Gym douce à la Résidence pour personnes âgées de la Kissel à Hettange-Grande :


A présent, les maisons de retraites se nomment EHPAD (Etablissements pour personnes âgées dépendantes).

Notre association y effectue des ateliers-mémoire ET de la gym douce. Ces exercices font le plus grand bien à des personnes dont la mobilité est réduite par l'âge, le manque d'activités, et hélas aussi l'arthrose et la maladie.

Vous voyez sur les 3 vidéos qui vont suivre Simone à l'oeuvre, avec des élèves appliqués... et ainsi que vous allez le voir, cela se passe en douceur et dans la bonne humeur.


Au programme pour la prochaine fois :

  • Quelques blagues de l'été
  • Quelques photos de notre activité théâtre et de nos acteurs
  • Peut-être d'autres choses intéressantes...


NB

Gym douce à l'EHPAD La Kissel 1

Un film de Simone Schlitter pour l'association Cancer Espoir





Gym douce à l'EHPAD La Kissel 2

Un film de Simone Schlitter pour l'association Cancer Espoir







Gym douce à l'EHPAD La Kissel 3

Un film de Simone Schlitter pour l'association Cancer Espoir





NB




Les bienfaits du sport...de glace... J'ai de longues années durant, pratiqué un sport emballant: la danse sur glace. Dans la première vidéo, vous me voyez en compagnie de Christian, un autre "drogué" de la glace. Nous dansons la canasta-tango. Mon âge sur cette vidéo : environ 78 ans (le froid conserve!!) Voyez d'autres vidéos de "Simone patinant" sur P'TIT CANARD MALADE et P'TIT CANARD BAVARD"


Les bienfaits du sport : Simone à la patinoire

Les bienfaits du sport


NB

Notre Club Théâtre :


NB Pour vous mettre en appétit...voyez tout d'abord quelques sketchs extraits de notre pièce La Fée Cigarette, ceux-ci présentés au forum des associations à Thionville en octobre 2013.Veuillez excuser la mauvaise qualité du son, tout était réussi au forum, mais le son pas vraiment au point...Sur l'image, vous faites connaissance avec Mr Alcoolo,en la personne de Colélid, pseudonyme de Marie SIMON. Mr Alcoolo, joyeux, tient en main une bouteille...une certaine bouteille...visionnez la suite si vous voulez en savoir plus !


sketchs de pièce au forum des associations"

Un film de Simone Schlitter pour l'association Cancer Espoir




Depuis plus d'une année, nous travaillons dans la joie en montant une pièce, La Fée Cigarette, dans le cadre de la lutte anti-tabac. Le scénario et la mise en scène ont été imaginés par la Présidente, Simone, de façon à donner à la pièce une allure burlesque, ce qui incite à en rire plutôt qu'à en pleurer... Car de graves sujets y sont traités sous forme de satire sociale... La pièce a été présentée plusieurs fois, et fut très applaudie...

  • à Garche, salle municipale
  • au forum des associations, en 2012
  • au forum des associations en 2013 (2 sketchs extraits de la pièce)
  • dans de nombreuses EHPAD, dont Ottange – avec article de jounal flatteur...(ici lien avec Intercom-santé 57 – forum – cancer-espoir – théât= article du RL sur théâtre à Ottange)

Un partenariat a été entrepris avec le collège de Hettange-Grande où un professeur de français, Mme Joana Strach, travaille sur cette pièce, dans son propre club théâtre. Nous irons présenter notre pièce aux élèves début janvier. Projet à moyen terme : représentation au Centre Europa à Hettange-Grande en début 2014


=

NB
Pour en savoir plus sur notre Partenariat avec le collège Jean-Marie PELT de HETTANGE-GRANDE : ===

Depuis le mois d'Octobre de cette année 2013, ce partenariat a donc été créé. Joana STRACH, professeur de français dévouée, s'occupe en ce moment, avec un groupe d'une douzaine d'élèves, de répéter l'acte 1, pendant que notre troupe d'adultes s'occupe de l'acte 2. Ces 2 actes avaient été présentés par notre troupe à la salle Municipale de Garche, l'an passé.Ils sont visibles sur le site INTERCOM-SANTE 57 (tapez Fée Cigarette dans Recherche).

Notre troupe s'est déplacée pour voir les jeunes pendant une répétition. Il s'agit d'élèves de 6è, 5è, et 4è, le plus souvent de très jeunes filles. Un seul garçon, pour l'instant du moins. Nous avons été attendris de les voir reprendre nos comptines, et très amusés en face de certaines répliques bien lancées !

La collaboration ira plus loin. Nous avons proposés à certains élève de participer à l'acte 2, cachés sous la table, et poussant des cris, et des gémissements, en synchronisation, afin de symboliser de pauvres malades, prisonniers, et captifs de la Fée Cigarette, sorcière malfaisante déguisée en vamp.

Il y aura aussi une fillette qui, tout à la fin de notre acte 2, émergeant de dessous la table, incarnera Alice, se réveillant de son rêve...quasi cauchemardesque...Nous espérons qu'elle choisira une tenue de circonstance.

Nous commencerons à répéter cela en commun dès le mois de janvier.

Une petite vidéo sera tournée lors de cette première répétition, et bien sûr le correspondant du Républicain Lorrain sera invité pour un reportage.

Nous projetons ensuite de faire une représentation en commun, à la salle EUROPA, de Hettange-Grande, et dès que la date exacte sera fixée je la communiquerai ici.


NB


La Fée Cigarette - Répétition avec les élèves de la scène 2 de l'acte 2

Un film de Simone Schlitter pour l'association Cancer Espoir



NOTRE TROUPE EST COMPOSEE ACTUELLEMENT DE :

  • Notre chanteuse de comptine, Nicole Lohezic (pseudonyme JU-JU-LE)
  • Frédéric Simounet, qui incarne : Mr Cé, Mr Saucisse, Mr Tchernobyl, Mr Légume (Pseudonyme Léonidas).
  • Yvette Boëzennec (pseudonyme Anne d'Incourt) qui incarne : Mr Alcoolo et « la diététicienne ».
  • Marie-Jeanne SIMON, (pseudonyme Colélida), qui incarne : Mme Hamburger et Mme Chips
  • Gilbert FLUDER, figurant l'huissier
  • Simone SCHLITTER (pseudonyme Mathilda), incarnant Mr Business et la Fée Cigarette

Veuillez voir les photos ci-dessous...


ONT PARTICIPE PRECEDEMMENT :

Céline FRETON, qui portait les rôles (nombreux et lourds), de Frédéric, et qui nous a quittés – à regret – pour « pouponnage » ! Monique PEDRINI, qui nous a quittés pour motif de trop grand éloignement.


NOUS RECHERCHONS :

  • Musiciens bénévoles
  • Acteurs, actrice, bénévoles
  • Aides bénévoles diverses : décoration, bruitages, éclairage, etc...

Téléphoner le soir au 03 82 83 42 71


Voici déjà des photos des personnages de la pièce...suivront bientôt une ou plusieurs vidéo(s) !

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Quelques rappels sur l'association :


La Fée Cigarette

Située à Zoufftgen au 3 rue des peupliers,

  • nous recevons les personnes qui veulent se confier sur rendez vous.
  • nous leur faisons part de notre expérience, de notre vécu personnel et les soutenons moralement dans l'épreuve.
  • nous tenons des ateliers-mémoire :
    → tous les premiers mardis du mois à Thionville au 3 rue du Cygne de 15h 30 à 17h.
    → tous les lundis à la résidence La Kissel, de 10h30 à 12h, à Hettange-Grande
    → tous les jeudis à la résidence le Belvédère, à Algrange, de 10h30 à 12h
  • nous tenons un magazine de santé ALLÔ DOCTEUR sur le site d'Intercom-Santé 57, ou nous interviewons des professionnels de santé (ORL, gynécologue, infirmiers, orthophonistes... Et d'autres).


Vous verrez Simone jouant les journalistes pendant l'interview. Ceci sur des thèmes variés en particulier concernant les méfaits du tabac.





Le mot de la présidente Simone :


"Cancer... Le mot fait peur... Et pourtant... On en guérit !
Je suis personnellement passée par là, je peux donc en parler !"


J'ai relaté mon vécu personnel du cancer dans un livre Cancer du Soir... Espoir. Il est à votre disposition.
Prix public 17,50€, bénéfice entièrement reversé à l'association.


Visitez également le site d'Intercom-Santé 57.



NB


VOYEZ TOUTES LES AUTRES BD, ANCIENNES OU NOUVELLES, DANS P'TIT CANARD BAVARD ET VANTARD